Un trou noir, « la » force la plus destructrice de l’univers. Voici comment l’Event Horizon peut voyager de notre galaxie à la galaxie de Pégase. Mais à quel prix ? C’est ce que le Lewis & Clark tente de découvrir en allant rejoindre l’Event Horizon qui a refait surface sur les écrans radars après sept ans d’absence. Mais où a-t’il bien pu aller ?
Voici la prémice d’un de mes films d’horreur/sci-fi préféré. Je me souviens lorsque je suis allé le voir au cinéma, je travaillais à l’Ozone (un bar d’Amos) c’était juste avant l’Halloween 97. Nous étions en préparation de la salle pour les décorations et j’avais quitté plus tôt pour aller voir ce film. Lorsque je suis revenu du film, plusieurs collègues de travail m’ont dit que j’étais « blanc comme un drap », c’est peu dire !
Il faut savoir aussi que je suis le genre de personne qui « rentre » dans les films, j’embarque corps et âmes à fond. Le stress est la force de ce film, tout au long (et lorsque je dis tout au long, c’Est tout au long : dès les premières minutes jusqu’à la toute dernière seconde avant le générique) nous sommes constamment sur nos gardes. Les effets spéciaux pour l’époque était tout à fait correct, pas de grosses explosions, mais les plans de vue dans l’espace était bonne, l’effet d’apesanteur lors de l’arrivée de l’équipe du Lewis & Clark sur l’Event Horizon est des plus réussi. La décompression de « bébé ours » nous donne envi d’avoir mal avec lui.
Nous avons le droit à la crème de la crème artistique : Laurence Fishburne (Matrix, Kiss Kiss Bang Bang), Sam Neil (Jurassic Park, The Hunter, The Tudors) et Joely Richardson (The Patriot, Nip/Tuck) alors quoi demander de plus ? Ah oui, Paul W.S. Anderson (Resident Evil, Alien vs Predator, Death Race) à la réalisation. Bref, ce film ne peut qu’être un succès.
Plus tard l’année suivante, le film est sorti à Super Écran. Mon colocataire de l’époque ne l’avait pas vu et m’a demandé de lui enregistrer (le film passait tard le soir) et moi j’ai décidé de le réécouter ; grossière erreur… j’en ai eu pour une heure minimum à être coucher dans mon lit avec le cœur qui roule à 100 milles à l’heure. Le lendemain, mon colocataire avait envie de l’écouter et j’ai commencé le film avec lui, mais après environ trente minutes (quand le suspense commence à être plus présent) j’ai décidé d’aller faire autre chose : j’avais eu assez d’émotions la veille
Mon seul regret est minime, mais très, très minime : il s’agit d’une scène coupé au film, que l’on peut écouter dans l’édition spécial du collectionneur qui aurait ajouté tellement au film s’il l’aurait intégrer, mais (si ma mémoire est bonne) elle était trop « choquante » pour l’époque et ont décidé de la retirer.
Note : Tout simplement un 10/10
[youtube id= »OVlnER8SxfQ » width= »1920″ height= »1080″ autoplay= »no » api_params= » » class= » »]
Acteurs (trices)
- Laurence Fishburne : Capt. Miller
- Sam Neill : Dr. William Weir
- Kathleen Quinlan : Lt. Peters
- Joely Richardson : Lt. Starck
- Richard T. Jones : Lt. Cooper
- Jack Noseworthy : Ensign Justin
- Jason Isaacs : Lt. Cmdr. D.J.
- Sean Pertwee : Lt. Smith
- Peter Marinker : Captain John Kilpack
- Holley Chant : Claire Weir
- Barclay Wright : Denny Peters
- Noah Huntley : Burning Man / Edward Corrick
- Robert Jezek : Rescue Technician
- Emily Booth : Girl on Monitor (uncredited)
- Teresa May : Vanessa (uncredited)
Réalisateur
- Paul W. S. Anderson
Producteurs
- Lawrence Gordon
- Lloyd Levin
- Jeremy Bolt
Écrivains
- Philip Eisner
- Andrew Kevin Walker (uncredited)
Musique
- Michael Kamen
Studios de production
- Paramount Pictures
- Golar Productions
- Impact Pictures
Distribué par
- Paramount Pictures
Dates de sorties
- 15 août 1997 (Amérique du Nord)
- 22 août 1997 (Royaume-Uni)
Durée
- 95 minutes
Budget
- $60 millions
Box office
- $26,673,242 millions