[Critique Film] Django Unchained

Quentin Tarantino nous présente enfin son tout premier western spaghetti. Les attentes envers ce film sont au paroxysme, que nous réserve le célèbre réalisateur? Django Déchainé (Django Unchained) nous raconte l’histoire de Django, un « negro » affranchit par un chasseur de prime pour l’aider dans sa capture de personnes recherchées.

Django (Jamie Foxx) est un esclave noir qui se fait affranchir par le Dr. Schultz, un ancien dentiste devenu chasseur de prime, qui l’engage pour l’aider à retrouver trois frères dont la tête a été mise à prix. Voyant le potentiel de Django, Schultz lui propose un marché : il l’aide à se faire plein d’argent durant l’hiver et dès le printemps il lui donne un coup de main pour retrouver sa femme, Broomhilda (Kerry Washington) qui a été vendue pour être esclave dans une plantation.

C’est à ce moment qu’ils feront la rencontre de Calvin Candie (Leonardo DiCaprio), un riche propriétaire de plantations de coton, qui est propriétaire de Bromilda. Le duo élabore alors un astucieux stratagème pour pouvoir la récupérer légalement.

Nous nous attachons dès le départ aux personnages ce qui est important pour la suite des événements du film.

Fidèle à ses habitudes, Tarantino ne nous déçoit pas dans son tout dernier film. Même s’il dure tout près de trois heures, on ne s’ennuie jamais pendant celui-ci. Les costumes et décors d’époques sont très bien représentés, on s’y croirait vraiment; Effets spéciaux plutôt rare, sauf une merveilleuse explosion à la toute fin; les fusillades sont nombreuses et « épiques »; le jeu des acteurs est tout simplement à couper le souffle, autant les esclaves que les riches dignitaires.

Malheureusement, durant  le tournage du film, J. Michael Riva (directeur des décors) a succombé à une crise de cœur. Toute l’équipe a alors décidé de donner leur 125% pour lui rendre hommage et avoir un film à la hauteur de ses attentes.

*Le mot « negro » est couramment utilisé dans le film et ne sous-entends pas que moi ou qui que ce soit de Zone Techno Culturelle soyons raciste.

Il vous faut ce film dans votre bibliothèque.

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