FNC 2016

[FNC 2016] Mon résumé de la 45e édition du Festival du Nouveau Cinéma

Dimanche dernier (16 octobre) était la dernière journée de la 45e édition du Festival du Nouveau Cinéma. Je n’ai pas pu voir autant de films que je l’aurais voulu. Dans ma liste de suggestions de films à voir, je proposais 20 films. Néanmoins, mon horaire me permettait de voir 13 films. Cependant, j’en ai vu seulement 10 et 4 courts métrages (2 cartes blanches et 2 du FNC Explore).

Comme l’an dernier, mon festival a tourné autour du Japon et de la Corée du Sud avec :

  • 4 films produits par le Japon
  • 2 films produits par la Corée du Sud
  • 1 film coproduit par le Japon, les États-Unis, la Taïwan et les Pays-Bas
  • 1 film coproduit par la France, la Belgique et le Japon
  • 1 film coproduit par la Suisse et l’Angleterre
  • 1 film produit par le Québec

 

J’ai vu d’excellents films qui sont loin de ce que j’écoute habituellement. C’est le cas avec le FNC depuis 2 ans puisque ce festival nous transporte ailleurs dans un style et un genre cinématographique bien différent des grosses superproductions américaines et de ce que je vais voir au Festival Fantasia.

 

Mes découvertes et mes longs métrages favoris

  1. Mademoiselle [Critique à venir]
  2. Antiporno [Critique à venir]
  3. Wet Woman in the Wind [Critique]
  4. Late Shift [Critique 1 et Critique 2]
  1. La Chasse au Collet [Critique à venir]
  1. Daguerreotype [Critique]
  2. Yamato (California) [Critique]
  3. The Sion Sono [Critique]
  1. Yourself and Yours [Critique à venir]
  1. Destruction Babies [Critique]

 


J’ai pu essayer deux films en réalité virtuelle qui font partie du FNC Explore, une programmation entièrement dédiée à la réalité virtuelle. Malheureusement, je ne trouve pas le médium et le média est encore intéressant à utiliser.

Le premier que j’ai vu est Virtual Oddity qui tente de nous plonger dans l’univers de la célèbre chanson de David Bowie Space Oddity. Une fois le casque VR mis, le spectateur peut voir et entendre 4 versions de ladite chanson. Évidemment, il y a la version originale qui est présentée sur un téléviseur. Les 3 autres sont des interprétations dans différents styles. Le spectateur doit alors tourner sur lui-même comme s’il zappait. Je dois dire que l’expérience n’est pas si immersive puisque le tout est très statique.

Le second film en VR que j’ai vu était Invisible. On nous plonge dans la vie de migrants qui sont retenus captifs. Bien que le film nous transporte d’une scène à l’autre, le contenu reste assez statique puisqu’une personne nous parle dans une direction.

Je crois que l’élément qui m’a le plus déplu, c’est le fait de ne pas pouvoir complètement ajuster les casques VR à ma vue. Donc, tout le contenu des deux films était assez flou. C’est dommage de ne pas pouvoir vivre pleinement le contenu proposé.

Je ne peux pas réellement parler des deux cartes blanches étant donné que je n’ai pas d’information sur ces courts métrages. Comparativement à l’an dernier, j’ai vu l’un des deux courts 3 fois sur les 10 représentations auxquelles j’ai assisté. C’est un peu décevant. J’aurais bien aimé voir l’ensemble des cartes blanches.


Bref, c’est ce qui conclut mon résumé de la 45e édition du Festival du Nouveau Cinéma. J’ai encore quelques critiques à écrire sur les films que j’ai vus. J’ai plutôt bien apprécié ce que j’ai vu cette année, même cela a été en petite quantité bien condensée dans la première fin de semaine (7 films en 3 jours) et le dernier dimanche (2 films). J’ai déjà hâte de voir ce que la 46e édition du Festival du Nouveau Cinéma va nous proposer !